Nom : Eiswesen
Prénom : Mélisandre
Age : J'ai passé 19 hiver à me sentir à l'aise.
Classe : J'ai rejoins les vérités d'Osamodas.
Rang demandé (facultatif) : Soeur de la glace.
Préférences : Je dois dire que je suis entièrement lesbienne, mais que je pourrais faire quelques expériences avec des hommes.
Fantasmes : Je vais sans doute les découvrires tout au long de mon aventure.
Familier (facultatif) : Mes familiers sont mes invocations.
Description physique : (5 lignes mini) Si je gèle une paroie rocheuse et que je me regarde dans cette réflexion glaciale, que vois-je? Une jeune adulte, une jeune femme, un visage n'affichant pas réellement d'émotions. Un visage froid, ne dégagant aucune chaleur, dans tout les sens du terme. Des yeux d'un bleu... indéfinissable. J'ai tentée de trouver quelque chose qui leur ressemblaient. Le Wakfu peut-être? Je ne saurais le dire. Ces yeux, si profond... et si brillant à la fois. On dit qu'on peut les appercevoir dans la nuit, tellement ils sont illuminescent. Mes cheveux... Long, peu coiffés et frisés un tout petit peu, ils semblent en permanence glacée... Pourtant, ils sont si doux... Serait-ce à cause de leur couleur blanche et grise, couleur si froide? Ma chevelure est décoré de deux petites cornes, ne servant pas à grand chose en fait. Ma peau... Aussi froide que mes cheveux et aussi douce, elle a tendance à prendre certaine teinte bleutée, tout comme mes lèvres. Ce dont je suis le plus fière, ce qui fait mon être et mon âme, le symbole sur mon front. Un triangle entourée de deux... pointes de flèches? Je ne saurai apposée un nom sur ces formes... Mais ce symbole est ma vie. Je suis Glace, et ce symbole est mon identification auprès de mes soeurs. D'un bleu métalique, il trône fièrement sur mon front, Tout comme ces petits triangles qui entourent mon oeil gauche. Je ne sais pas à quoi ils servent, mais je le découvrirai bien un jour. Comme simple parrure, j'ai des boucles d'oreilles, dans un métal noir. Je n'y tiens pas réellement, mais je les aime bien tout de même, ça me fait rapeller que je suis une femme. Mon corps est caché par une de ces capes brune et beige, découpée et cousue dans un tissu épais et résistant, afin d'affronter le froid constant de mes voyages et de mon corps. La capuche qui recouvre ma tête est très large et ne cache pas mon visage en général.
Maintenant, si je laisse tombé cette cape, que vois-je dans ce reflet si glaciale? Une blouse blanche, ample, qui recouvre la totalité de mon torse. Ayant toujours ma cape sur moi, je ne la boutonne que peu, ne voyant pas l'utilité de le faire en entier. Si je baisse les yeux, je vois une ceinture de cuir, enlaçant ma taille d'une jolie manière, faisant même deux fois le tour de celle-ci. Elle serre ma blouse, un peu trop grande à cette endroit. Si je baisse encore les yeux, je vois une paire de pantalon beige, ample eu aussi, très confortable. je les attachent à l'aide d'un cordon au niveau de ma taille. Je n'aime pas ce qui me serre trop le corps. Flotter dans mes vêtements est pour moi une libertée constante donc je ne me lasserai jamais. Mes pieds sont couvert par de grande et de grosse bottes en cuir. Elles m'arrivent environ au milieu du mollet, ajoutant une touche plus brunâtre à mon habillement. Elles sont un peu lourde, mais je m'y sent à l'aise.
Au finale, si je laisse tomber tout ces vêtements, quel reflet je profète? Le reflet d'un corps nue, d'un corps fin et froid, d'une grande délicatesse. Je ne me considère pas comme étant frêle, mais pourtant, je me dit que je le suis. J'ai l'impression d'être une brindille que l'on peut briser entre ses doigts. Du bout de mes doigts, je découvre de très petites cicatrices, causé par tout plein de choses, agréable ou non. Au niveau du torse, je ne réussit pas à prendre en main ma poitrine. Trop grosse? Je ne saurais le dire et je n'y ai jamais réellement porter attention. Or, le bout de mes seins sont de la même couleur que mes lèvres, d'un bleutée froid, les laissant dûr en permanence. Si je place mes mains dans mon dos et que je les fait descendre, elles vont parcourir une courbe qui mène directement à mes fesses, rondelette un peu, tout en restant ferme. Mais avant de les atteindre, je rencontre une queue draconique, de la même couleure que mes lèvres, signe de mon appartenance à Osamodas. Si je les place sur mon entre-jambe, elles vont rencontrer non pas un, mais deux sexes. Mon sexe féminin, toujours aux couleurs bleuté et roseâtre, comme le reste de ma chaire. Puis il y a mon sexe masculin. De ce que je sais, il est plus long que la normal, de combien? Je ne le sais pas et je ne me suis jamais réellement poser la question. Mais j'avoue que je l'aime énormément, même s'il est fin comme le reste de mon corps, je trouve que sa longueur compense pour le reste, et j'en remercie ma grande soeur Aïrosa. Si je descend encore plus, mes cuisses et mes mollets sont fermes, malgré des jambes fines. Si je regarde l'ensemble, je peux me considèrez comme étant grande, surtout pour une femme. Même si mon corps est frois en permanence, je l'aime énormément, car j'ai apprise à vivre avec, et je ne l'échangerai pour rien au monde...
Description mentale : (5 lignes mini) Suis-je une Leader? Est-ce que je dirigerais une armée au combat, ou un grand établissement? Non. Ce n'est pas parce que je déteste la compagnie d'autruie, mais je n'aime pas être le centre d'attention, et je n'aime pas donnée des ordres. En recevoir ne me dérange pas, car j'en suis un peu habituée, mais imposée ma manière de pensé et la faire respecter, je vais repasser. Serait-je du genre à élever la voix, à parler fort? Non plus. J'aime gardé une voix douce et rassurante, une voix mielleuse et sensuelle par moment, car je ne connais pas de voix qui font autant d'effet sur l'âme d'une personne. Je veux qu'on se sente bien en ma présence, surtout à cause de mes différences si voyante, alors je fait tout pour mettre ceux qui m'accompagne (Même s'ils sont rares) à l'aise. Serais-je du genre à m'énerver? Encore une fois, non. Je ne me suis jamais emporter, je ne me suis jamais fâchée et je ne compte pas le faire, à moins que l'on touche à mes soeurs et à mes grandes soeurs. Je suis d'un calme absolue et d'un sang froid... à toute épreuve.
J'avoue que je ne suis pas du genre a être émotive, ou du moin je ne suis pas du genre à les afficher ouvertement face aux autres, sauf peut-être à certaines personnes, celles qui me seront chers, celles qui auront une place de choix dans mon coeur, même s'il est de glace. Selon moi, ma psychologie et mon mental ont été affecté par mon élément, celui qui parcourt mon corps en entier, la glace. Même si mon apparence reflète mon élément parfaitement, même si je suis froide au sens propre, je ne me considère pas comme tel. Je peux me montrer chaleureuse et acceuillante. Je suis gentille et j'aime faire plaisir, car j'aime voir les gens heureux et l'affiché ouvertement, chose que je ne peux pas faire moi-même. La gêne est un concept avec lequel j'ai de la difficulté. Je ne crois pas que je sois gêner, mais par moment, j'ai l'impression de l'être.Sa doit dépendre de la situation sans doute...
Histoire : (10 lignes mini)
Les quatres grandes Soeurs.
On ne sait pas d'où elles viennent, on ne sait pas quand elle sont apparues et on ne sait pas qui elles sont réellement. Ce que nous savons, (pour les historiens aguéries qui ont fait des recherches méticuleuses à leur sujet) c'est qu'elles sont associé à un élément. Or, une fois arriver en ce monde, elles étaient faible et ont donc du s'associer à un dieu afin de devenir une disciple de celui-ci. Les opinions étaient partagé, alors elles ont décidée qu'il serait mieux et surtout plus avantageux pour elles que de choisir un dieu différent. La première se nomme Aïrosa, la soeur de l'air. Elle s'attacha à Crâ, trouvant que le vent s'accordait mieux aux flèches et à l'élégance de ces archers. La seconde se nomme Aquanias, la soeur de l'eau. Pour sa part, elle se tourna vers Éniripsa, pour sa douceur et sa délicatesse, comme l'élément qu'elle contrôlait. La troisième, Terranne, est la soeur de la terre. Elle trouva son bonheur en Iop, un dieu puissant, solide et fort, dieu qui lui convenait parfaitement au final. Et finalement la quatrième, Pyrya, la soeur du feu. Ayant un faible pour les petits animaux à fourrure, elle ralia sa cause à Écaflipe, adorant l'esprit en général des félin et la chaleur de leurs poils. Ces soeurs, une fois ralliées à la cause d'un dieu, parcoururent le continant afin d'accomplir leurs volontés. Après quelques années, voir dizaines d'années, comme si c'était programmé dans leur cerveau, les quatres soeurs se retrouvèrent et se laissèrent aller à leur but originèle, procréer. En effet, chacune d'entre-elles peut enfanter et peut donner naissance a un enfant. Aucune discrimination, aucune jalousie. Au finale, elles eurent un total de six filles, chacunes d'entre-elles représentant un élément mineur. C'est dans ces petites filles que naquît Mélisandre.
Les six petites Soeurs.
Au nombre de six, elles sont nées de l'amour et de l'union de leurs grandes soeurs. Chacun d'entre-elles est associées a un élément mineur, résultat des deux éléments majeurs de l'union de deux grandes soeurs. Or, chacune des petites soeurs naissent sans dieu et doit s'associer à un afin de pouvoir survivre et atteindre plus aisément leur but. De l'union de l'air et du feu naquît Énergia qui prêta son pouvoir à Féca. De l'air et de l'eau naquît Glaciann, qui rejoins Osamodas. De l'air et de la terre naquît Dustara qui trouva son comble en le dieu Sram. Du feu et de l'eau naquît Vapora qui suivit les vois de Xélor. Du feu et de la terre naquît Lavanna, qui prêta son pouvoir ardent à Sacrieur. Puis finalement, de la terre et de l'eau naquît Vasa, qui rejoins Sadida. Les six petites soeurs se séparèrent afin de prendre exemple sur leurs ainées, et elles voyagèrent et accomplissèrent leurs buts, ou du moins, elles le feront jusqu'à ce que le moment soit venue, le même moment qui mena leurs grandes soeurs à faire ce qu'elles ont fait. Car bien entendue, chacune d'entre elles, chaque soeur, elles sont tous hermaphrodite. Chacune d'entre elles peut se faire enfanter et enfanter, et pourra ainsi créer d'autres éléments, même s'ils seront encore plus mineurs.
Mon histoire.
Ai-je eu une enfance? Ai-je grandit? J'avoue que cette partie de ma vie est flou dans mon esprit. Pour moi, ma vie débuta lorsque j'avais 12 ans, lorsque je devais choisir un dieu afin de me guider dans ce monde. J'étais loin d'être forte physiquement, à vrai dire, j'était très faible. La glace me gèle au plus profond de mon être et me ralentis, mon organisme est lent. Je suis vive d'esprit et je réfléchit rapidement, mais mon corps peut avoir du mal à me suivre. C'est pourquoi je ne me presse jamais. Je prend toujours mon temps. Suite à cette faiblesse, je savait que parcourir ce monde pourrait être dangereux pour moi, alors je pris la meilleur décision selon moi, m'associer à Osamodas. N'étant pas née sous son étoile j'ai du souffrir afin d'obtenir ses attribues, et ce n'était pas de tout repos. Mon crâne subit deux excroissances, perçant ma peau, baignant mes cheveux si blanc dans le sang si rouge. Au finale, deux petites cornes étaient apparue. Aquanias resta à mes côté tout le long de l'opération, me calmant et me soignant doucement. Puis viens la queue draconique. J'avoue que la souffrance qu'elle m'as occasionnée lorsqu'elle a poussé m'as fait hurler de douleur, contrairement à mon habitude. Mes jambes ont fléchis et je me suis retrouvée sur le sol, agonisante. Encore une fois, ma grande soeur m'as énormément aidée et soutenue. C'est après cette transformation que j'ai débuter dans l'art d'invoquer les créatures de ce monde.
Je venais de me faire un but dans la vie. Me balader sur le continent, à la recherche des toutes les créatures possibles, afin de les maitriser et de les invoquer. Pourquoi en rechercher tant? Étant donner ma faiblesse, je me doit d'avoir tout les atouts possible de mon côté, afin d'être apte à répondre correctement et efficacement à la situation à laquelle je serai confronter. Mes invocations sont soutenue par ma magie de glace, par mes pouvoirs. Je tente de trouver des combinaisons efficaces avec chacune d'entre elles. Il me reste encore quelques années avant que le besoin de me reproduire se fasse ressentire... Le besoin de se reproduire avec mes soeurs afin de continuer le cycle des éléments. Je ère sur le continent, en attendant ce jour fatidique, ce jour si important. Pour le besoin, je me trouva un nom, un nom que j'aimais bien: Mélisandre, Mélisandre Eiswesen. Je ne sais pas pourquoi, mais il me plaisait beaucoup. Mon véritable nom, Glaciann, doit rester secret, c'est ce que m'ont dit mes grandes soeurs. Je ne me suis jamais poser la question et je ne sais pas si je veux en avoir la réponse. Je me contente de vivre et de me promener. Mon histoire n'as rien de spéciale... Aucune rencontre amoureuse, aucun combat contre un monstre géant surpuissant, rien. C'est probablement mieux pour moi ainsi. Après tout, je ne suis qu'un fragile crystale de glace, prêt à se fracasser sur le sol à n'importe quel moment.
Dim 12 Fév - 4:18
