Balgor la flèche perçante [Finis]

Nom : Inconnu

Prénom : Balgor

Age : 17

Classe : Cra masculin

Rang demandé (facultatif) : La flèche perçante

Préférences : Les femmes

Fantasmes : Dur de tout lister

Familier (facultatif) :

Description physique :

Balgor est un jeune cra au corps assez fin. Il a les cheveux châtains clairs mi longs, les yeux verts un visage plutôt allongé. Ses habits sont globalement verts et jaunes. Balgor porte un pantalon en toile, un petit gilet, une paire de bottes et une ceinture en cuir. En supléments, une cape, des gantelets, une casquette et des épaulettes métalliques. Il possède un arc comme tout disciple de sa race. Physiquement il a une musculature assez discrète, Balgor privilégie la souplesse et la vitesse à la force. Ses oreilles pointues sont assez sensibles aux sons aigus et sa vu de chasseur est excélente.


Description mentale :

Balgor vivant seul a développé un instinct de survie. Il se montre prudent et méfiant face aux personnes qui lui semblent louches ou malveillantes. Il se montre sensible et émotif ce qui est à la fois un atout et une faiblesse. Il se sent bien une fois qu'il a testé son interlocuteur. En communauté il se montre discret mais très sympathique. Avec la gent féminine il se montre doux et tendre même s'il a connu peu de filles finalement. Balgor est globalement respectueux des autres, même si en combat il n'ira pas prendre les coups il couvre ses aliés avec ses flèches.

Histoire :

J'ai démarré ma vie de façon très banale, né d'une mère cra et d'un père eniripsa. Le dieu cra a eu la priorité sur la race de l'enfant. Maman était une femme douce, élégante et futée, mon père avait un caractère un peu introverti. Nous vivions à Astrub et mes parents m'éduquaient bien, ma mère m’apprenait à tirer à l'arc et mon père m'a appris les premiers secours. Tout se passais bien et normalement jusqu'à mes 14 ans. Mon groupe d'amis n’appréciait pas le fait que les filles m'aimaient bien, ils étaient jaloux. Ils se montraient méchant et agressifs avec moi à chaque fois qu'une fille avait le malheur de me sourire. Le plus stupide du groupe me frappait car sa soeur m'aimait bien. Je commençais à craquer.
Un soir alors que je m'entrainais à l'arc, le groupe eu la stupide idée de se faufiler dans la zone d'entrainement. Une flèche se retrouva malencontreusement dans la cuisse d'un des garçons, qui plus est le fils du maire. Malgré les circonstances atténuantes, ils reportèrent toute la faute sur moi. Je fis part de l'accident à ma famille, ils étaient inquiets et avaient bien raison, le soir même un groupe de miliciens vint à la maison et m'amena sur la place centrale. Mes parents suivaient, mon père avait la mine grave et ma mère pleurait.
Une fois sur la place je retrouvais le groupe d'amis enfin d'anciens amis. Les miliciens me lancèrent violemment au sol près du groupe, ma punition était de subir leurs assauts. Je me recroquevillais sous les coups de pieds, les crachats et les insultes. Après cinq longues et douloureuses minutes la tempête de coups s’arrêta. Je me relevais difficilement, le maire s'approcha de moi pour me gifler et me dire :

-"Balgor, tu me déçois franchement, je te bannis, ne remet plus les pieds ici si c'est pour blesser tes camarades pour une simple querelle."

C'est ainsi que je quittais Astrub. Ne sachant pas où aller, je me réfugiais dans la forêt a plusieurs kilomètres de là. J’appris bien vite à me débrouiller en vivant de chasse et de cueillette. Je me battis bien vite une cabane dans un arbre. Je restais ainsi seul dans l'imense forêt loin de la société qui m'avait exclue jusqu'au jours où...